Cela se fait à travers des chaînes de réactions biochimiques très complexes, englobées dans le cycle de Krebs suivi par la chaîne respiratoire/phosphorylation oxydative.
La mitochondrie, une curieuse petite structure à l’intérieur de chaque cellule est la centrale de production de l’énergie du corps.
Il en existe par milliers dans chaque cellule !
C’est à l’intérieur de ces structures que vont être utilisés les principaux nutriments de notre alimentation : glucides, lipides, protéines.
A la fin de leur dégradation, l’oxygène que nous respirons sera utilisé pour libérer l’énergie et la rendre disponible hors de la mitochondrie et utilisable pour les fonctions vitales : contractions musculaires (cardiaques, respiratoires, digestives, squelettiques, etc.). C’est l’idée de l’essence qui va permettre à la voiture de se mettre en mouvement.
Les rendements de nos mitochondries fluctuent avec notre mode de vie, notre âge, la maladie…
Cela devient assez vite visible car nous manquons d’énergie même après avoir mangé un pot entier de confiture ou un énorme burger.
En attendant d’aller consulter un professionnel de santé pour être accompagné, sachez que d’autres nutriments peuvent soutenir le cycle de production d’énergie dans la cellule.
En effet, chaque réaction biochimique dans le corps se déroule en présence d’entités appelées « Cofacteurs », des molécules qui vont favoriser voire, amplifier la réalisation des processus physiologiques.
Ces cofacteurs sont très souvent des molécules utiles à d’autres fonctions du corps ; elles seront donc très recherchées par les cellules. Cela justifie qu’on puisse en être carencé si notre alimentation quotidienne n’en apporte pas.
Pour reprendre la métaphore de la voiture, un déficit d’huile de frein ou de liquide de refroidissement ne va pas permettre à la voiture de fonctionner de manière optimale, même après un plein d’essence …